Dans la gamme Audi TT, le must est le 6 cylindres 3.2 FSI de 256 chevaux. une mécanique de première classe, qui n’a de leçon à recevoir de personne. Hormis, encore et toujours, les 3 litres BMW, dans un autre monde depuis leur naissance? et sans doute pour un petit moment encore.
Et si cela incitait les fans de la marque aux anneaux et de son coupé à gueule d’amour, non pas à regarder ailleurs, mais juste au-dessous dans la gamme. Car dans sa configuration modèle d’attaque (ticket d’entrée à 35 600 euros tout de même, et 37 970 avec la transmission séquentielle S-tronic !) le TT se présente sur le ring armé d’un des meilleurs propulseurs développés par le groupe VW : le 2.O TFSI de 200 chevaux.
je l’ai déjà abondamment savouré, notamment sur les Golf et Eos. Je vous avais narré mes pérégrinations, vous savez tout le bien que je pense de ce bloc. Ses qualités sont résumées pas son sigle, et son double code génétique : T comme Turbo, pour des reprises utra-vigoureuses dès les bas régimes ; FSI comme injection directe, gage de vivacité en accélération et dans les tours, sans oublier une sonorité métallique annonçant des chevaux particulièrement bien nés.
Sachant que la plateforme, et surtout les liaisons au sol, ont été bien optimisés, et l’aérodynamique de même, on se retrouve au volant d’une sportive compacte, vive et précise; Bref, une auto dont le ramage vaut largement le plumage.
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