Les fidèles lecteurs de L’Entreprise le savent : je n’avais pas été convaincu par la dernière version du Range Rover : cosy à souhait, mais manquant de dynamisme malgré les 286 chevaux de son V8 essence, et surtout handicapé en comportement routier pas sa trop forte prise de roulis dans les virages. J’avais même préféré le nouveau Discovery 3. Eh bien, tout le monde a droit à une seconde chance ! En reprenant presque par hasard – en attendant le Range Rover Sport dont je vous donnerai des nouvelles d’ici peu – le volant d’un Grand Range, mais équipé du nouveau moteur V8 à compresseur, j’ai redécouvert ce monument britannique. Supercharged, c’est le surnom de cette mécanique de 390 chevaux (www.landrover.com/fr/fr/Vehicles/New_Range_Rover/Range_Rover_overview.htm?route=__link__Thumbnail_1). Superchangé, c’est le cri du cœur de son conducteur. Débordant de puissance et de couple, le Range redevient souverain. Et comme les suspensions pilotées ont été durcies, la tenue de route devient sereine, malgré des vitesses de passage en virage plus élevées. On n’est pas dans un Porsche Cayenne, certes. Mais on touche de nouveau du doigt ce que doit être le Range : la Rolls, ou plutôt la Bentley des 4X4. Bravo aux ingénieurs Land Rover d’avoir si bien rectifié le tir.
Range Rover : la redécouverte
arnaud, publié le
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